dimanche 20 janvier 2013

Bernard Werber - Troisième Humanité

Troisième Humanité, Bernard Werber, 2012, 584 pages.

Enfin ! Enfin j'ai pu lire le dernier livre de Bernard Werber.

Je dois commencer par me confesser : je crois qu'on peut dire que je suis "fan" de Werber. J'ai lu la totalité de ses romans, et je ne peux pas dire que je suis très objectif. D'un autre côté, nous ne sommes pas là pour être objectif, ça tombe bien.

Tout d'abord, avis à ceux n'ayant jamais lu de Werber : vous devez essayer. Prenez la Trilogie des Fourmis, ou si vous avez peur que cela fasse beaucoup, tentez l'un de mes préférés, Le Papillon des Etoiles. Pour moi, les livres de Werber ont tous des éléments communs qui les rendent si bons : des sujets de récit innovants, un apport de connaissance incroyable, des histoires à plusieurs entrées relançant continuellement l'action, des énigmes, des rebondissements et du suspense. Toujours un savant mélange de science et d'aventure, dont personnellement je suis friand. Dans Troisième Humanité, on retrouve une nouvelle fois tous ces éléments.

Pour parler de l'histoire en elle-même, je vais citer le site internet de Bernard Werber, qui offre un synopsis non-présent sur la quatrième de couverture :

"En Antarctique, le paléontologue Charles Wells et son expédition découvrent, tout au fond d'un lac souterrain, les restes de squelettes humains d'environ 17 m.
A Paris, son fils David Wells voit son projet d'étude sur le rapetissement humain sélectionné par un tout nouveau programme de recherches consacré à "l'évolution future de l'humanité".  
Le premier a trouvé l'ancienne humanité, le second entrevoit la prochaine humanité, mais ils sont loin encore de savoir la vérité.  
C'est grâce au soutien et à la passion amoureuse d'une femme, Aurore Kammerer, spécialiste dans la connaissance des Amazones, que sera révélé le plus surprenant des secrets et réalisée la plus folle des expériences, modifiant à jamais l'avenir des générations futures."

Du Werber classique, avec peut-être un peu plus de géopolitique que d'habitude. Peut-être aussi un peu moins de gros rebondissements. En tout cas, beaucoup de références à ses anciens romans (dont la lecture n'est pas nécessaire pour comprendre, ce sont plus des clins d'oeil), avec notamment le retour de l'Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu. Ah, ça donne envie de relire les Fourmis.

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