jeudi 5 septembre 2013

Roland C. Wagner - Celui qui bave et qui glougloute

Celui qui bave et qui glougloute, Roland C. Wagner, 1999, 88 pages.

Ayant il y a peu de temps bien aimé Le Serpent d'angoisse, j'ai décidé de tenter une nouvelle novella de Roland C. Wagner, toujours chez ActuSF et leurs couvertures qui attirent l'oeil. Evidemment, c'est aussi une lecture dans le cadre du JLNN de Lune.

Autant le dire tout de suite, j'ai un petit problème avec ce livre : je ne m'en souviens plus vraiment. Ça ne fait pourtant pas si longtemps que ça que je l'ai lu, et cela me confirme donc dans mon ressenti : je n'ai pas vraiment apprécié cette lecture.

L'idée de base était plutôt alléchante, avec les Indiens qui se trouvent des alliés intergalactiques, et la Terre qui se retrouve finalement au milieu de quelque chose de bien plus grand. Sauf que cet aspect est finalement retombé assez vite, se concentrant plus sur le côté mystère et créatures bizarres. En plus, je n'ai étonnamment pas vraiment accroché à cet univers Far West combiné à des extraterrestres (dont les références se révèlent assez anecdotiques).

À côté de ça, il me faut souligner les autres clins d'oeil intégrés par Roland C. Wagner, dont ceux à H.P. Lovecraft, que bien qu'étant complètement inculte j'ai cru pouvoir déceler. Vous verrez assurément plus de choses que moi.

Au final, je suis plutôt passé à côté de ce livre, qui bien que commençant bien, a évolué sur des territoires qui ne sont pas mes préférés (ni ceux que je connais le mieux). Mais elle pourrait tout de même vous plaire, vu tout le bien dont j'en ai lu ailleurs.

4 commentaires:

  1. J'avais bien aimé aussi, bien que cela ne soit pas MA lecture de l'année. Ceci dit, avec le passage du temps, il ne m'en reste plus grand chose côté souvenirs...

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  2. Alors ce manque de souvenirs ne viendrait peut-être pas de moi ? Allez loup IA ! =O

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  3. Pas réussi à rentrer complètement dans ce petit livre. Trop foutraque zarbi pour moi. Ça se laisse lire cependant.

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  4. J'aime beaucoup cette expression de "foutraque zarbi", qui correspond parfaitement à ce livre !

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