Proscenium, Thierry Di Rollo, 2017, 22 pages.
Sorn est un semi-mort : son corps ne ressent plus rien, n'a plus de besoin et n'est maintenu en vie que grâce à des injections de succédanés toutes les six heures. Juste de quoi lui permettre de poursuivre sa quête : retrouver Naëva.
Proscenium est une nouvelle frustrante. Frustrante car on s'attache à cet étonnant héros qu'est Sorn. Frustrante car on aime découvrir cet univers. Frustrante car on voudrait que cela continue, qu'il se passe plus de choses, ... Mais la fin arrive vite, après une histoire simple, sans guère de rebondissements. Entendons-nous bien : Proscenium est une bonne nouvelle, douce-amère. Mais un peu frustrante - dans le bon sens ?
En relisant mes notes, j'avais assez apprécié. Mais un an plus tard, il faut bien avouer qu'il ne m'en reste rien
RépondreSupprimerRéponse dans un an pour moi, mais ça prendra certainement le même chemin, c'est souvent le cas avec les nouvelles - ce qui n'enlève en rien aux qualités éventuelles. C'est bien pour ça que je blogue d'ailleurs, au moins j'en garde une trace. ^^
SupprimerJe me souviens vaguement de cette nouvelle à te lire, mais incapable de me rappeler de ce que j'en avais pensé.
RépondreSupprimerFaudrait que t'inventes une rubrique de bref avis sur ton blog... =P
SupprimerJe pressens la nouvelle qui me frustrerait plus qu'autre chose, je passerai donc mon tour ^^
RépondreSupprimerJe peux difficilement te contredire, c'est sûrement une sage décision. ^^
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