Trois soeurcières, Terry Pratchett, Tome 6/35 des Annales du Disque-Monde, 1988, 348 pages
À la mort du roi Vérence, assassiné par son cousin le duc Kasqueth, son fils, encore nourrisson, est recueilli par trois sorcières. Pour le protéger, et lui permettre d'un jour accomplir son destin, celles-ci le confient à une troupe de théâtre sur le point de quitter le royaume.
Deuxième apparition dans les Annales pour Mémé Ciredutemps, après le peu mémorable La Huitième fille, en compagnie cette fois de ses deux consoeurs Nounou Ogg et Magrat Goussedail. Et le résultat est bien plus probant avec ce tome consacré au théâtre, avec tous les ingrédients classiques du genre, et plus particulièrement aux tragédies
Heureusement, le drame reste bien léger. S'il ne provoque pas un tonnerre de francs éclats de rire, Trois soeurcières reste un livre amusant et bien rythmé avec tout un tas de sympathiques personnages - sauf une (oui, vous, duchesse). Ni le pire ni le meilleur, un tome dans la moyenne.
Couverture : Josh Kirby / Traduction : Patrick Couton
D'autres avis : Tigger Lilly, ...