Le K, Dino Buzzati, 1966, 380 pages.
Résumer un recueil de nouvelles est toujours une chose compliquée. Encore plus en chroniquer, pour ceux qui font ce genre de choses - mais n'ayez crainte, pas de ça ici ! Alors, à plus forte raison, comment parler d'un recueil qui se compose de 51 courtes nouvelles ?
N'ayant pas pris de notes pendant ma lecture, je serais bien incapable d'en dire grand chose d'utile. Surtout que ma lecture m'aura occuper quelques mois, picorant une nouvelle de temps à autre. C'est d'ailleurs surement ainsi que ce recueil se savoure le mieux : en ne le lisant pas d'une traite. Comme souvent avec les recueils, certes, mais encore plus avec celui-ci qui ne comporte que des nouvelles de quelques pages.
À part ça, l'adage ordinaire aux recueils : il y a du bon et du moins bon. Des nouvelles surprenantes et des nouvelles anecdotiques. L'ensemble est globalement bon même si je ne l'ai pas trouvé aussi excellent que ce à quoi je m'attendais.
Je l'ai lu y'a longtemps, je ne me rappelle plus de tout... sauf de la nouvelle sur la veste parce que je l'avait découverte dans Je bouquin celle-là y'a bien des années...
RépondreSupprimerPas de souvenirs de celle dont tu parles. ^^'
RépondreSupprimerJ'en ai deux qui me restent bien en tête : une femme qui chute d'une grande tour et un petit garçon traumatisé par ses camarades. ^^