Balle de match, Harlan Coben, Tome 2/? de Myron Bolitar, 1996, 309 pages.
Deuxième étape de ma redécouverte, dans l'ordre, des aventures de Myron Bolitar, l'agent sportif enquêteur d'Harlan Coben. Après Rupture de contrat, voici Balle de match. Cette fois-ci, c'est dans le monde du tennis que va se dérouler l'action.
L'action, ou plutôt les actions. Comme d'habitude, plusieurs pistes se déroulent au début du roman, et se regroupent comme par magie à la fin. Allez, si on veut trouver une critique, ça sera surement celle-là (qui est la même pour nombre de romans policiers "basiques") : tout tombe un peu trop bien. Heureusement, cela n'empêche pas de garder du suspense. Et une fois plongé dans l'intrigue, on ne s'en soucie pas.
C'est une lecture sans prise de tête. Le duo Myron Bolitar & Windsor Horne Lockwood fonctionne très bien, avec un tas de répliques qui forcent à sourire. Même si ça peut parfois sembler un peu brouillon, l'intrigue tient la route. Petit moment d'autosatisfaction : j'ai prévu la fin à la page 268 (ok, il y a pas de quoi se vanter, mais Myron le savait pas encore !), après avoir failli la découvrir au tout début. Je pense d'ailleurs que je ne dois pas être le seul à avoir pu l'imaginer au départ, mais Harlan Coben gère très bien la chose.
Et puis c'est tout.
Peut-être mon Harlan Coben préféré, de ce que j'en ai lu :)
RépondreSupprimerPas le mien, de ce que j'en ai lu. =)
RépondreSupprimerMais peut-être la quatrième de couverture la plus délirante, ça oui. ^^