Code éternité, Eoin Colfer, Tome 3/8 d'Artemis Fowl, 2003, 385 pages.
La suite des mes aventures en compagnie d'Artemis Fowl, troisième partie ! Après un premier tome étonnant et très engageant, j'avais trouvé le deuxième tome un peu décevant. On tombait dans de l'attendu et le tout était un peu gentillet. Mais ça, c'était avant.
Je ne vous refais pas le speech : Artemis Fowl est un jeune garçon, mettant globalement son génie aux services du mal. Sauf qu'après sa rencontre avec le peuple des fées, le petit a tendance à se tourner du côté du bien (j'ai essayé, je ne peux pas faire plus manichéen). Ce changement va plutôt se poursuivre dans ce volume (ou au moins ne pas faire vraiment machine arrière) mais d'une manière beaucoup moins bébête, et en fait moins manichéenne. C'est bien mieux amené, avec un surplus de réflexions, qui rendent la chose moins niaise.
Mais de toute manière, ce n'est pas l'élément principal de ce livre. Car cette fois, nous avons le droit à un véritable condensé d'actions, sans temps mort. En effet, c'est la guerre entre Artemis Fowl et Jon Spiro, businessman américain à tendance mafieux, pour la possession du Cube C. Forcément, les personnages féeriques des tomes précédents vont faire leur réapparition, mais d'une manière moins envahissante que d'habitude. Oui, enfin, Artemis Fowl est mis en avant ! Enfin nous allons pouvoir le suivre et voir son intelligence à l'oeuvre. Et ça, ça fait plaisir.
De l'action et un Artemis Fowl en continu, que demandez de plus ? Un duo de gros bras aussi idiots qu'hilarants ? Accordé, Pex et Chips sont là. Une fin donnant envie de lire la suite ? Accordé. Mais alors je vous rajoute le supplément "épilogue avec un monologue à vous faire dresser les poils".
Artémis Fowl + Daft Punk dans un même article, c'est cool 8-)
RépondreSupprimerOh yeah ! \(^-^)/
RépondreSupprimerLes deux méritaient un bel accompagnement !